Posner (1977)
La chute de « ne » est plus acceptée dans la langue de tous les jours. On applique dans le français parlé de nos jours moins de « ne » comparé à notre passé.
Blanche-Benveniste et Jeanjean (1987) 'ne croient pas à l'hypothèse de changement'. On ne peut pas parler d’un changement si le « ne » n’est pas complètement effacé du français. il dit qu’il n’y a pas un changement linguistique en cours, mais une application voulue et intégrée dans notre langue parlée dans laquelle le « ne » est souvent omis.