Les Techniques

• French
• Further Education (Key Stage 5)

Quelle technique remarquez-vous?

Lisez le paragraphe et evaluez la technique!

Manque d’effets spéciaux
Les couleurs (le décor) – noir / gris / il fait froid / sombre / les bâtiments sont dénudés / les lits sont construits du métal / au réfectoire les portions sont petites / pas de choix ou de variété. Manque de vitamines – ils souffrent d’une insuffisance de vitamines)
On fait le black-out dans l’abri au moment où les enfants récitent Notre Père (la fermeture en fondu est en accéléré) et crée un atmosphère ....... (puis l’angle de prise de vue se tourne au dortoir et souligne ces sentiments de peur mais d’espoir aussi)

L’arrière plan est souvent sombre / manque de couleur (noir / gris) / il fait toujours de mauvais temps (pas de soleil)
On a un plan d’ensemble au restaurant pour qu’on puisse voir la réaction des dîneurs au moment où le soldat allemand affronte la Milice (le silence / la puissance des Allemands contrairement à celui des soldats français (Vichy = gouvernement fantoche (Pétain = marionnette) )

Les visages des enfants et des spectateurs à la salle de cinéma sont de très gros plan (en riant et en souriant aux bêtises de Charlie Chaplin)
La mise en scène réussit à nous rendre heureux / joyeux / soulagé. Les têtes des spectateurs et l’écran – un sens d’unification et d’unité

A l’abri on voit les garçons tous blottis. Ils ont besoin l’un à l’autre (le soutien / la protection / pas de différences entre eux à ce moment-ci). Le bruitage est minimal mais très efficace (du bruit faible – le bruit des voix des garçons)
Le silence au moment où on entend les bombardements dehors(le son non-diégétique) est par contraste avec le bruit soudain de leurs petits voix quand ils récitent le Notre Père

La représentation du dortoir – la solitude / l’isolation en faisant du pipi au lit / les cauchemars / la froid / le noir / le dépouillement (manque de meuble / pas de luxes) dans la salle
A la fin – Julien cligne des yeux avec sa bouche entrebâillée – il est en état de choc
La fin – ‘au revoir mon père, au revoir mon père’. La répétition / la camera se tourne vers le prêtre et on ne voit pas les enfants mais on les entend (imagine la solitude chez Père Jean dans sa tête)

La représentation du dortoir – la solitude / l’isolation en faisant du pipi au lit / les cauchemars / la froid / le noir / le dépouillement (manque de meuble / pas de luxes) dans la salle
A la fin – Julien cligne des yeux avec sa bouche entrebâillée – il est en état de choc
La fin – ‘au revoir mon père, au revoir mon père’. La répétition / la camera se tourne vers le prêtre et on ne voit pas les enfants mais on les entend (imagine la solitude chez Père Jean dans sa tête)

A certains moments les personnages se déplacent d’une façon vite et rapide (il est comme le film commence à être en accéléré) et aux autres moments ils bougent très lentement (les effets sont que le film semble d’être tourné au ralenti / on se sent la douleur des personnages (Julien quand il se baigne)

Au moment de déjeuner – le bruit qui est fait quand les fourchettes et les cuillères entrechoquent. Beaucoup d’action en ce qui concerne les garçons et leur bouffe. Cela souligne le fait qu’ils ont tellement faim

La mise au point se concentre vers le soldat français on entend le son des pas du soldat français (le restaurant tombe en silence) et donc les pas sont accentues pour souligner la peur sentie par le vieux homme juif (un moment significatif)

Près de la fin du film – tous les deux sont tous seuls dans la cour (la froid / la neige). Il y a peu de mouvement ce qui souligne en plus la force et la puissance du voix de l’officier allemand
Le matin – la salle de bains est surchargée (beaucoup d’action) avec des jeunes garçons qui se lavent (pas d’eau chaude)

L’arrivée de Herr Müller dans la salle de classe (ses pas pèsent dur sur les marches en bois)

Opérant sous les ordres de la Gestapo et de H Muller, le mouvement des garçons est rapide en réponse en réponse à leurs ordres – ils se lèvent d’une façon discipline a part Julien qui reste assis, au cœur brisé (encore la choc)

Le rythme est vite et stimulant au moment ou les garçons courent dans les bois tous seuls (le travelling est efficace pour qu’on puisse suivre chaque mouvement de Julien). On n’entend que le bruit de leurs souffles, des oiseaux (la nature éloignée), épuisés mais déterminés de trouver le trésor. La signification de la mise en scène quand il se jeté par terre (un sens de désespoir et d’épuisement). Jean se tourne vers son camarade (un coup d’œil sérieux)

Un manque de musique – souvent seulement des accords de piano – quelle signification?
A la fin du film quand H Muller a mis les élèves en rang – il n’y a que le son des cloches d’église ce qui laisse la caméra fixée sur les détails fines de ce qui se passe (aucune distraction)
En marchant de la gare au collège les garçons marchent, presque marchent au pas en chantant (un sens de camaraderie / d’unité / un moment gai parmi une vie de discipline, d’ordres, de suppression)

Aux bains publics, Julien s’étale dans la bain – il a l’air pensive en réfléchissant sur la conversation qu’il a eue avec Mlle Davenne (tu avais dû appris jouer du piano). Un sens que rien d’autre existe – sa fascination avec la prof (lui et elle)
Violon & piano (joue par Mlle Davenne) sont joue en direct dans la salle de cinéma pendant la séance de L’immigrant (film de C Chaplin) (une atmosphère gaie / heureuse / joviale

La joie de courte durée – les deux garçons jouent la chanson “Boogie Woogie” la joie / la musique signifient ici l’amitie innocente (on comprend / on réjouie pour les 2 de savoir de telle joie)
A la fin le son non-diégétique où on entend les mots poignants de Malle mais on le voit pas (une histoire passée mais pas oubliée)

Il y a une gamme de scènes authentiques qui explorent l’idée de l’angoisse partagée par des enfants pendant cette période difficile de l’histoire.

L’une qui me frappe la plus, c’est au début du film. En voyageant au pensionnat après les vacances, un plan travelling sert à éloigner la distance entre Julien et sa mère.

L’une qui me frappe la plus, c’est au début du film. En voyageant au pensionnat après les vacances, un plan travelling sert à éloigner la distance entre Julien et sa mère.

Rien ne touche si grave que la distance entre une mère et son enfant. Un sentiment déchirant est donc évoqué chez le spectateur.

Rien ne touche si grave que la distance entre une mère et son enfant. Un sentiment déchirant est donc évoqué chez le spectateur. Pour y ajouter, on peut citer les scènes dans le dortoir où Julien fait pipi……​